Cet accord signé en décembre 2018 a permis la mise en place du télétravail au sein de l'entreprise à partir du 1er janvier 2019. Il détermine les dispositions applicables et les modalités de mise en oeuvre pour les salarié-e-s éligibles au télétravail (il va de soi que les techniciens par exemple en sont exclus).
La CGT a signé cet accord, non sans de nombreux débats avec l'ensemble des collègues des bureaux. Deux arguments majeurs revenaient dans la discussion au sujet du télétravail. D'une part, les coll!ègues faisaient valoir qu'une journée de télétravail, c'était des heures gagnées pour le temps personnel, en évitant de passer 2 heures dans les bouchons (particulièrement en Île-de-France, mais cela se retrouve pour toutes les grandes métropoles). D'autre part, des salariés insitaient sur le bien-être gagné, en n'étant pas obligé, de temps en temps, de voir son chef et ses petits copains (argument entendu notamment au siège). Ce sont des arguments importants, qui montrent en particulier combien les conditions de travail aujourd'hui (transports et ambiance notamment) ce sont dégradées.
Mais nous avons également insisté sur les problèmes et les risques que fait courir cette nouvelle organisation du travail.