Nous devons garder le souvenir d’un homme honnête, de conseil, de conviction et qui a consacré une partie très importante de sa vie à son engagement avec son syndicat, la CGT, pour le mieux-être des salariés, et des femmes et des hommes en général.
Jean-Jacques, c’est 50 ans de militantisme actif dans l’entreprise :
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Entrée en 1967 chez Thévenon-Schindler (ascensoriste)
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Quelques mois plus tard, c’est 1968 et la grève pour obtenir des augmentations de salaires et des acquis sociaux (reconnaissance de l’existence du syndicat au sein de l’entreprise, notamment).
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En 1971-72 : fusion de Thévenon-Schindler et de Roux- Combaluzier : création de RCS : lutte pour l’égalité des salaires et des conditions de travail entre les salariés des 2 anciennes entreprises. Première élection professionnelle chez RCS (la CGT seule présente).
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1981 : Grève chez RCS avec occupation des locaux : obtention des 39h/semaine et de la 5ème semaine de congés payés et lutte pour l’application des lois Auroux (nouveaux droits syndicaux et création du Comité d’Hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail) principalement.
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1992 : RCS devient Schindler. Mise en place du Comité central d’entreprise. Jean-Jacques a été désigné délégué syndical central CGT pendant 10 ans. Jean-Jacques a, entre autres, permis le maintien constant de l’activité syndicale toujours dans l’intérêt des salariés. Pour le progrès social !
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En août 2003 : Jean-Jacques tombe gravement malade. Il ne reprendra pas le travail mais se bat pour la reconnaissance de sa maladie en maladie professionnelle (due à l’utilisation de produits chimiques) qui finit par une victoire : l’inscription dans la liste des maladies professionnelles par la Sécurité Sociale.
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2006 : Retraite : On lâche rien ! Création avec quelques camarades de la section syndicale CGT des retraités Schindler (basée à Malakoff, une nouvelle fois au sein de l’union locale de Malakoff).
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Poursuite de la lutte syndicale au niveau départemental au sein de l’Union Syndicale des Retraités 92 (Nanterre).
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Il devient secrétaire général, remplaçant ainsi Jean-Pierre PETRUCCI, à son départ.
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Il anime la Commission Santé de l’USR 92 et milite pour la reconquête par les salariés de la Sécurité Sociale.
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Il a été également membre de la Commission exécutive de l’Union Confédérale Retraités (UCR) CGT, au niveau national donc.
A part la CGT, sa vie de célibataire, c’est avec ses amis, ses copains.
Plus jeune, il est passionné de voiles, et il fait du bateau avec ses copains.
Et puis ses chats qui lui tiennent compagnie dans son quotidien.
Un ami, un camarade, qu’on n’oubliera pas et qu’on peut continuer à prendre pour exemple. Nous, ses camarades, présentons nos condoléances à sa famille.